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Editions Presses
de la Cité, Collection Sang d'encre, 2007.
466 pages
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Roman
lu dans le cadre du
Grand prix des lectrices de ELLE
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Jamais
je ne reviendrai
de Brian Freeman
En
découvrant le roman policier qui avait été sélectionné par le
jury d'octobre du Grand prix des lectrices de ELLE et que je devais
lire, mes premières impressions n'ont pas été des meilleures.
Tout d'abord, la première de couverture n'était pas des plus réussies
et ne me donnait pas franchement envie d'ouvrir ledit roman. Deuxièmement,
le fait que je découvre en lisant la quatrième de couverture qu'il
s'agissait encore d'une histoire de disparition (après La
37e heure...), cela ne m'a guère enthousiasmée : cette
fois-ci, il s'agissait de celle d'une jeune fille de 17 ans, nommée
Rachel, survenue dans une petite ville du Minnesota. Enfin, je
ne voyais pas l'intérêt de faire apparaître dans le titre français
du roman, un semblant de réponse à la question de cette disparition
: Jamais je ne reviendrai, qui oriente le lecteur (et ce,
sans lire une seule phrase du roman !) plutôt vers une fugue que
vers un meurtre ou un enlèvement...
Bon,
me direz-vous, si Rachel n'est "peut-être" pas morte, des questions
restent en suspens, notamment une essentielle : pourquoi a-t-elle
disparu ? Pour
le découvrir, il faudra avoir le courage de lire tout le
roman... car c'est seulement dans les dernières pages que
sont dévoilés tous les secrets de cette disparition, pas si simple
que cela d'ailleurs, en témoignent les (trop) nombreux rebondissements
de l'enquête. Mais il faut
l'avouer, si c'est avec réticence que je suis rentrée dans ce
roman, et si l'intrigue m'a peu tenue en haleine, c'est complètement
scotchée par les dernières révélations de l'enquête que
j'ai refermé celui-ci.
Marie.
03 octobre 2007.
In Lecture & Cie
A lire aussi l'avis de Laure sur son blog : Les
jardins d'Hélène |
